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https://lejournal.cnrs.fr/billets/val...er-la-recherche-par-le-logiciel-libre
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https://theconversation.com/comment-l...es-devaluation-de-la-recherche-169071
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https://www.ouvrirlascience.fr/en-rou...-louverture-des-codes-de-la-recherche
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https://theconversation.com/comment-l...re-acces-aux-donnees-publiques-157091
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https://www.nextinpact.com/lebrief/45...publiees-en-2019-sont-en-acces-ouvert
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Il aurait été possible d’investir pour la communauté scientifique dans une solution libre garantie par une infrastructure nationale (à l’échelle d’un pays, le coût est faible). C’est même le rôle de Renater, le réseau national. De fait, Renater a depuis plusieurs années créé des services en ce sens basés sur des logiciels libres. Rendez-vous Renater est basé sur Jitsi par exemple. Mais pour cela, encore faut-il que l’état donne des moyens à ses infrastructures nationales. À l’heure où les universités françaises se tournent vers Gmail pour leur service de courrier électronique académique parce que Google leur offre gratuitement ce que Renater est obligé de leur facturer très cher, on peut être pessimiste. Comme pour l’hôpital public, les décisions infrastructurelles sont dictées par le désengagement de l’état et l’exigence de rentabilité.
La science ouverte sous format propriétaire, c’est un peu comme si le « plan national de la science ouverte » volontariste de l’état français était rédigé sous Microsoft Word ou Google doc. Sa plaquette, en tous cas, a été réalisée sous Adobe Indesign pour Macintosh – les métadonnées du PDF nous l’apprennent.
https://theconversation.com/debat-peu...de-la-science-ouverte-sur-zoom-146491
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https://theconversation.com/la-scienc...e-circuler-le-savoir-librement-133408
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